euh..pari..perdu

tiens.. voilà mon pari qui tombe à l'eau.. dès le second jour.. j'essaie de me trouver quelques minutes de libre, à une heure du matin mais bon je crois que c'est encore raté..

et me revoilà..

quelques semaines se sont écoulées, et voila que je me remets à mon train-train quotidien.. enfin je l’espère..
les journées (et les nuits aussi) s’allongent et ne finissent plus.. les heures sup. au bureau qui ne font qu’augmenter.. le problème n’est certainement pas cernés, ce sont mes yeux qui le sont..

le bide augmente en volume.. déjà à la base je bouge peu, là je ne bouge plus du tout, 36 heures d’affilées face à mon ordinateur.. mais bon c’est décidé, il faut que je me remette à l’écriture..

rien n’a vraiment changé (comme si quelque chose devrait changer ici), les gens sont pareils, les habitudes et leur façon de voir les choses (et les humains d’ailleurs) ; peut être que c’est moi qui ai changé un peu ma vision des choses : l’habitude s’installe lentement, deux ans déjà ; les chameaux qui bossent, les zarabiens qui pantouflent, et qui bouffent avec les mains, après avoir tonitrué leur pauvres orteils.. bof ! ou plutôt bof sans point d’exclamation..

mais c’est quand même décidé, je reprends mon sarcasme en main ; je retourne sagement mes neurones, et je serai toujours surpris par cette culture qui me dépasse..

état d’âme

ici

mine coopar

et voilà comment en zarabie, on écrit le nom de ma voiture, sur le ticket de réparation.. il faudrait que je revois mes comptes..