le jour où j’ai fait la nique aux zarabiens
c’est un vendredi, un jour où tu peux strictement rien faire. Entre 2 prières, tu peux te risquer dans un magasin bondé, mais il faut que tu puisses terminer tes courses (d’où le nom je suppose) avant l’annonce de la dernière prière du jour (et la plus longue).
Une fois la prière annoncée, tout les magasins ferment leur portes, et tu te retrouves au beau milieu d’un pays paralysé, le temps d’une communication spirituelle..
Dieu sûrement n’est pas un économiste contemporain..
Mais bon, religion mis à part..
Vendredi. J’ai soif. En temps de prière. Je déshydrate. Grave !
J’ai besoin d’un truc potable. Niet !
C’est alors que se dresse devant moi, un distributeur de boissons gazeuses.
Je glisse ma pièce de monnaie a l’effigie de je ne sais plus quel fils de Ibn el Aziz, et voila que ma cannette tombe dans son petit panier.
Unique disponibilité en temps de prière..
Cette cannette je la garde, c’est mon trophée, ma pièce de conviction.. ce soir, j’ai fait la nique aux zarabiens..
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