des frites, patate!
actuellement je ne dispose que de ces informations*;
voilà en gros à propos de M. French:
d’autres auraient réévalué les choses et auraient continué à vivre, d’autres se seraient donné la mort.
French, lui, avait peur du suicide ; Il aurait admis à plusieurs reprises avoir arrete, par peur, à la dernière minute lors de plusieurs tentatives de suicide.
il décide alors de recourir à quelqu’un qui le tuerait (un peu comme le suicide a quatres balles dans le dos, chez nos con-patriotes syriens); et la solution la plus convenable serait le “state-aided suicide”, en d’autres termes la peine de mort.
donc French décide de tuer quelqu’un, et l'état, à son tour, le tuerait.
nous sommes en 1958, French est accusé de meurtre.
son plaidoyer pour requête de peine de mort tombe à l’eau.
il est condamné à perpétuité.
s’accrochant toujours à son désir d’être exécuté, il étrangle son co-loc’ de cellule.
traîné à nouveau, en justice, il réaffirme son désir d’être condamné et insiste sur le fait que ça soit par électrocution.
Ce que l’Etat fera finalement en 1966.
ses deniers mots, sur la chaise électrique:
James French, d. 1966
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